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1.
Pharmacien Clinicien ; 57(4):e8-e9, 2022.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2211245

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

2.
Rev Rhum Ed Fr ; 89:A253-4, 2022.
Article in English | PubMed Central | ID: covidwho-2182800

ABSTRACT

Introduction: La pandémie COVID-19 a présenté plusieurs vagues. À partir de la troisième vague, la vaccination anti-COVID-19 a été initiée et a exercé une influence majeure sur la mortalité. Les données sont manquantes concernant l'influence des vagues épidémiques sur les caractéristiques de la COVID-19 chez les patients atteints de rhumatismes inflammatoires chroniques (RIC) traités par traitements de fond synthétiques, biologiques ou ciblés. Patients et méthodes: Cette étude monocentrique avait pour objectif de déterminer les caractéristiques des patients souffrant d'un RIC (polyarthrite rhumatoïde, spondyloarthrite axiale, rhumatisme psoriasique) ayant contracté la COVID-19 en fonction des différentes vagues (première vague entre mars et avril 2020, deuxième vague entre septembre et novembre 2020, et troisième vague entre mars et mai 2021) avant la mise en place de la vaccination massive COVID-19. Les caractéristiques démographiques, cliniques et thérapeutiques des patients et de la COVID-19 (symptômes et évolution) ont été collectées à partir du registre français French RMD COVID-19 et de l'étude CORhum qui visait à évaluer la morbi-mortalité de la COVID-19 chez les patients présentant un RIC traités par immunosuppresseurs (NCT04426279). Lors de la première vague, le diagnostic de COVID-19 retenu était soit très fortement suspecté par le clinicien et/ou après la positivité d'un test PCR. Pour les autres vagues, le diagnostic de COVID-19 était confirmé par une PCR positive. Résultats: De mars 2020 à mai 2021, 632 patients atteints de RIC sous thérapies ciblées et/ou immunomodulateurs ont été inclus. Le diagnostic de COVID-19 a été porté chez 107 patients (16,9 %) : 20 patients lors de la première vague, 70 patients lors de la seconde vague et 17 patients lors de la troisième vague. La COVID-19 était symptomatique chez 98 patients. La plupart des patients étaient des femmes (66,3 %) avec un âge moyen de 54,3 ± 15,0 ans. La polyarthrite rhumatoïde était le plus fréquent des RIC (49,5 %), suivi par la spondyloarthrite (32,7 %) et le rhumatisme psoriasique (17,8 %). La suspension des traitements chez les patients atteints de COVID-19 était fréquent pendant la première vague (55,0 %) et a diminué pendant la seconde (34,2 %) et la troisième vague (11,8 %). Une hospitalisation fut nécessaire pour 24 patients (20,5 %) et trois décès (2,6 %) sont à déplorer. Une réinfection a été décrite chez 5 patients (3 avec une polyarthrite rhumatoïde, une avec un rhumatisme psoriasique et une avec une spondyloarthrite axiale) avec un âge moyen de 44,0 ± 14,0 ans. La durée entre deux infections était comprise entre 1 et 10 mois (1,1,6,7,10). Deux patients étaient traités par méthotrexate, deux par ustékinumab et une par golimumab. Les symptômes étaient modérés et aucune hospitalisation ne fut nécessaire. Conclusion: Dans cette étude monocentrique, les patients atteints de RIC sous thérapies ciblées et/ou immunomodulateurs présentaient peu de formes sévères. Les cas de réinfections étaient également rares. La pandémie a toutefois eu une influence sur la prise en charge des patients, puisqu'un nombre important de patients ont suspendu leurs traitements.

3.
Ann Intensive Care ; 11(1): 136, 2021 Sep 15.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1408353

ABSTRACT

Invasive pulmonary aspergillosis (IPA) has always been a challenging diagnosis and risk factors an important guide to investigate specific population, especially in Intensive Care Unit. Traditionally recognized risk factors for IPA have been haematological diseases or condition associated with severe immunosuppression, lately completed by chronic conditions (such as obstructive pulmonary disease, liver cirrhosis, chronic kidney disease and diabetes), influenza infection and Intensive Care Unit (ICU) admission. Recently, a new association with SARS-CoV2 infection, named COVID-19-associated pulmonary aspergillosis (CAPA), has been reported worldwide, even if its basic epidemiological characteristics have not been completely established yet. In this narrative review, we aimed to explore the potential risk factors for the development of CAPA and to evaluate whether previous host factors or therapeutic approaches used in the treatment of COVID-19 critically ill patients (such as mechanical ventilation, intensive care management, corticosteroids, broad-spectrum antibiotics, immunomodulatory agents) may impact this new diagnostic category. Reviewing all English-language articles published from December 2019 to December 2020, we identified 21 papers describing risk factors, concerning host comorbidities, ICU management, and COVID-19 therapies. Although limited by the quality of the available literature, data seem to confirm the role of previous host risk factors, especially respiratory diseases. However, the attention is shifting from patients' related risk factors to factors characterizing the hospital and intensive care course, deeply influenced by specific features of COVID treatment itself. Prolonged invasive or non-invasive respiratory support, as well as the impact of corticosteroids and/or immunobiological therapies seem to play a pivotal role. ICU setting related factors, such as environmental factors, isolation conditions, ventilation systems, building renovation works, and temporal spread with respect to pandemic waves, need to be considered. Large, prospective studies based on new risk factors specific for CAPA are warranted to guide surveillance and decision of when and how to treat this particular population.

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